Spécialiste en produits d’assurances RC Privée
Un bon moyen de garantir la réparation des dommages causés par une cyberattaque, qu’ils soient d’ordre psychologique ou financier.
Aujourd’hui, les écrans sont devenus notre quotidien. Nous consommons du digital à grande échelle et savons bien qu’il fera partie intégrante de la vie de nos enfants. Pourtant, nous ne connaissons pas si bien ce monde numérique et ne sommes pas forcément conscient des dangers auxquels il nous expose, ni des comportements à avoir pour préserver notre sécurité.
Dans ce contexte, comment savoir quelles limites poser à nos petits par rapport à l’utilisation des écrans connectés?
La lumière bleue artificielle, que dégagent nos écrans, est nocive pour nos yeux. Comme pour les UV, il convient de ne pas se surexposer. Heureusement, la nature est si bien faite que nous possédons un rempart naturel contre les attaques de ce type de rayonnement : le cristallin. Ce bouclier oculaire n’arrive à jouer pleinement son rôle protecteur que vers l’âge de 10 ans. C’est pourquoi nous passons tant de temps à répéter: « Matthis, mets tes lunettes de soleil si tu vas jouer dans le sable».
Les UV c’est mauvais et ça, c’est ok, nous l’avons intégré. Mais la lumière bleue, c’est nouveau et il nous faut établir des limites.
Pour vous assurer de protéger les yeux de votre petit, vous pouvez faire confiance à la règle des 3-6-9-12 .
Et comme les lunettes de soleil, les lunettes anti-lumière bleue peuvent devenir le meilleur allié de l’œil de votre enfant.
Retard de langage, difficultés d’apprentissage de la marche ou troubles du spectre autistique, l’impact négatif de la surexposition des tout-petits aux écrans est aujourd’hui reconnu. Nos enfants doivent bouger pour développer leur équilibre, leur coordination et plus simplement leur locomotion.
Le jeu est essentiel à la prise en main de leur corps en pleine croissance. Mais l’interaction avec les autres êtres humains l’est tout autant. Communiquer ou interpréter une émotion n’est pas inné. Par le contact avec ses semblables, le bébé développe des compétences sociales indispensables. Le temps consacré aux écrans est donc pris sur des moments de jeu et d’interactions cruciaux pour son bon développement psychomoteur. Évoluant à une vitesse folle, les plus petits seront les plus touchés par l’utilisation précoce du digital. Même si des thérapies ultérieures peuvent les aider, il est tout de même important de mettre toutes nos chances de notre côté pour que le cerveau de bébé puisse bien se développer.
Le fameux « Ne parle pas aux inconnus! » se décline en numérique. Autre support mais les mêmes dangers pour nos enfants, le web demande aussi sa part d’éducation. Pour les cybercriminels chevronnés, les petites têtes blondes sont une opportunité inespérée de mener à bien leurs opérations de manipulation psychologique. C’est donc à nous de veiller à ce que l’innocence que nous tentons de préserver ne soit pas exploitée par des personnes mal intentionnées.
En plus d’expliquer à nos enfants comment se méfier des apparences sur la toile, nous pouvons également compter sur le contrôle parental pour nous aider. Mais il se peut que nous soyons vite dépassés par les capacités de notre enfant et que nous n’arrivions pas à éviter d’être attaqué. Il existe des plateformes et logiciels pour nous venir en aide dans la sécurisation de nos données.
Une assurance digitale, comme par exemple l'assurance CyberProtect du Groupe Mutuel, est également un bon moyen de garantir la réparation des dommages causés par une potentielle cyber-attaque, qu’ils soient d’ordre psychologique ou financier.
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